Un surplus de dépense

En réalité, acheter un bien immeuble n’est pas si modique qu’il n’y parait. Quand bien même on ne tiendrait pas compte de l’augmentation de la valeur du m2, les dépenses affiliées à l’accession à la propriété sont plus importantes. Outre les centaines des milliers d’euros que vous allez devoir débourser pour régler l’achat de l’immeuble, il faudra payer, les frais de notaires, les commissions des courtiers ainsi que les dépenses pour l’entretiennent de l’immeuble pendant les prochaines années.
Au final, si on compare les dépenses entre la location et l’accession à la propriété, la première alternative est la plus modique. Mais bien évidemment, elle ne vous ouvre pas l’opportunité de recourir à un prêt hypothécaire pour vos futurs projets.

Des doutes quant à la rentabilité du placement

En règle générale, la pierre est une valeur sûre. Mais comme on le dit si bien : « A chaque règle son exception ». Comme dans n’importe quel placement, celui dans la pierre n’est pas garanti à 100 %. Il n’est pas rare de voir des propriétaires céder à bas prix leur bien pour une raison ou une autre. Investir mérite donc de plus amples réflexions. D’autant plus que c’est une dépense assez importante.
La valeur de votre placement dépend notamment de la bonne volonté du marché. La situation actuellement, où la tension en la matière commence à être de plus en plus présente sur le marché, profite notamment aux propriétaires qui souhaitent vendre à bas prix.
La valeur vénale de votre bien est aussi la conséquence de son bon entretien. Le prix du m2 dépendra des travaux qui restent à faire et des résultats des diagnostics immobiliers faits par les experts. Raison pour laquelle, les propriétaires ne doivent pas lésiner sur les dépenses en la matière.

Côté conception, un appartement neuf est plus intéressant

Certaines pièces des anciens appartements comme le dernier étage ou le rez-de-chaussée sont souvent dévalorisés, ce qui vous apportera des problèmes de confort en été et en hiver, et vous ne bénéficierez pas de certains privilèges. Or, en achetant un appartement neuf, vous n’aurez pas de problème, car les logements modernes sont toujours bien conçus et respectent les dernières normes de qualité. Par exemple, le dernier étage dispose d’une terrasse offrant une belle vue et le rez-de-chaussée est équipé d’un jardin privatif. De plus, tous les immeubles neufs disposent au minimum d’une place de parking par demeure. Côté aménagement intérieur, si vous optez pour un appartement neuf, il est habituellement possible de changer les plans du logement lorsque la construction n’a pas encore commencé. Ainsi, selon vos besoins et vos goûts, vous pouvez ajouter des pièces, déplacer des cloisons ou personnaliser l’appartement. Si tout cela vous intéresse, vous pouvez vous informer sur les programmes immobiliers en France en vous rendant sur des sites d’agences immobilières comme alpi immobilier agence de Douvaine et sur les sites web des promoteurs immobiliers.

Vous bénéficierez de plusieurs garanties

De nombreuses garanties assurent en général l’acquisition d’un bien immobilier neuf. Effectivement, en achetant un appartement neuf, vous profiterez de diverses garanties :
– la garantie avant livraison qui vous permet de récupérer l’argent déjà versé en cas de problèmes causés par le promoteur
– la garantie après la livraison comme la garantie de parfait achèvement du logement, la garantie biennale ou la garantie décennale.
Enfin, en investissant dans un appartement neuf, vous pourrez aussi faire des économies d’énergie, car les immeubles construits depuis janvier 2013 doivent répondre à la Réglementation thermique 2012 et à la norme Bâtiment Basse Consommation. Ces nouvelles normes mettent surtout l’accent sur l’énergie renouvelable, l’isolation thermique et l’orientation des bâtiments.

Quels sont les avantages de cet investissement ?

Le prix d’accès est relativement bas par rapport aux autres investissements comme l’immobilier. D’ailleurs, vous n’êtes pas obligé d’acheter un mobil-home tout neuf, mais une bonne occasion tout équipée et relativement récente fait aussi l’affaire. Sur Mobilhome-sud.com, vous pouvez trouver aussi bien des mobil-homes neufs que d’occasion. Cet investissement permet également de récupérer la TVA de 20% à l’achat. La fiscalité est tout aussi intéressante puisque l’achat d’un mobil-home n’est pas soumis ni à la taxe foncière ni à la taxe d’habitation. Vous ne payez que la taxe de séjour entre 100 et 200€ par an. Il faut noter que le mobil-home fait partie des biens mobiliers et non des biens immobiliers. Et le plus important, c’est la demande locative très forte, surtout si vous investissez dans un camping 4 ou 5 étoiles. Les vacanciers débarquent tout au long de l’année pour se divertir, se ressourcer, se socialiser ou au contraire s’isoler. Les tarifs locatifs varient beaucoup et sont pharaoniques en haute saison.

Comment choisir votre camping ?

Le choix du camping joue dans la réussite de votre investissement. La région, la ville et l’emplacement des mobil-homes sont déterminant dans votre choix puisqu’ils garantissent le taux locatif au cours de l’année. Toutefois, le plus important reste les conditions imposées par le camping. C’est un point qui doit attirer la vigilance des investisseurs. En gros, vous devez vérifier les dates d’ouverture du camping puisque certains domaines se limitent à 5 mois sur 12 tandis que d’autres ouvrent de février en novembre, donc 10 mois sur 12. Vérifiez les équipements du domaine, les infrastructures, les activités et les animations qu’il propose. Ceci a un grand impact sur le taux locatif. Enfin, demandez si le camping permet de louer par vous-même sans frais supplémentaires. Calculez bien la rentabilité en partant du rapport entre la location annuelle de la parcelle et les tarifs appliqués à la location de votre mobil-home.

Choisir le bon emplacement

Un investissement immobilier implique une grande mise de fonds. Il est donc important de bien choisir son bien parmi les offres disponibles. Dans les Landes, l’emplacement des biens immobiliers est un critère très important si vous envisagez de louer le bien, ne serait-ce que pendant les vacances d’été. L’idéal c’est de choisir un bien situé dans un quartier animé ou à proximité d’un centre de loisirs. En effet, les touristes préfèrent ces types de logements. Ainsi, ils n’auront qu’à faire quelques minutes de marche pour arriver à la plage par exemple.

Évaluer la qualité du logement

Lorsque les touristes viennent dans les Landes, ils recherchent détente et relaxation. Pour la réussite de votre projet d’achat immobilier dans les Landes, il est donc conseillé de choisir un bien avec un bon niveau de confort. Dans le cas d’une reprise, les travaux de rénovation doivent être axés sur l’équipement du bien. Le but étant de garantir un séjour en tout confort aux vacanciers. Pour ne pas passer à côté d’un détail, il est important de se faire aider par un professionnel dans le domaine.

Réalité des prix à Chamonix

A titre d’information, le prix des maisons va de 4 000 à 7 000 euros environ le m². Le prix moyen au mètre carré pour un appartement est de 6 175 euros contre 6 388 euros pour une maison. Quoi qu’il en soit, le prix de l’immobilier évolue beaucoup au fil des années en fonction de nombreux paramètres. Chamonix a des maisons plutôt petites, 50% des logements sont des appartements, 25% des 2 pièces et 25% seulement ont une surface de plus de 150m².

Rechercher un bien immobilier à Chamonix

Vous pouvez effectuer votre recherche directement sur des sites internet, dans des magazines d’annonces ou parmi les ventes entre particuliers. Vous pouvez également passer par un notaire grâce à des sites spécialisés d’annonces notariales ou lors des ventes aux enchères. Le plus courant étant de passer par un agent immobilier qui saura effectuer les recherches de bien immobilier Chamonix à votre place en fonction de vos besoins : type de bien, localisation et emplacement, état du bien.

Acheter votre bien immobilier

Une des meilleures alternatives pour bien acheter votre bien immobilier est de faire une offre d’achat. Vous proposez alors un prix égal ou inférieur à celui que demande le vendeur. L’offre d’achat vous engage et vous ne pouvez pas vous rétracter pendant le délai fixé dans la proposition. Limitez donc vos offres dans le temps pour éviter toutes embrouilles avec les vendeurs. Le vendeur dispose alors d’un certain temps pour accepter ou refuser votre offre. Par la suite, vous êtes obligé de signer un avant-contrat ou un compromis de vente.

Au sujet des parts des fondateurs

Chaque part détenue par les associés fondateurs vaut au moins 150 euros. De plus, la loi exige que ces parts soient nominatives. Naturellement, les parts qui vous sont présentés à l’achat ne peuvent afficher une valeur inférieure à 150 euros. Pour en revenir aux parts détenus par les fondateurs, il faut savoir qu’ils sont incessibles durant 3 années à compter de la date à laquelle l’Autorité des marchés financiers accorde à la SCPI un visa d’exploitation.

La nécessité de la garantie bancaire

Les membres fondateurs ont l’obligation de présenter aux investisseurs une garantie bancaire qui a préalablement obtenu l’approbation de l’Autorité des marchés financiers. Cette garantie bancaire permet de rembourser les investisseurs dans un cas bien précis : si au moins 15% du capital n’a fait l’objet d’aucune souscription de la part du public (les investisseurs) alors que le délai légal d’une année à compter de la date d’ouverture de cette souscription est déjà dépassé. En d’autres termes, c’est sur cette durée d’une année que 15% au moins des parts sociales disponibles doivent trouver preneur. Au-delà, la société est dissoute et les investisseurs qui ont déjà payé sont remboursés grâce à la garantie bancaire.

Conditions à vérifier avant tout achat de parts sociales

Les détails de l’opération sont précisés sur www.scpi-8.com. Ce qui suit constitue un exposé simplifié vous permettant de mieux comprendre le processus d’investissement en SCPI. Lorsqu’ils mettent en vente des parts sociales, les associés fondateurs de la SCPI doivent conserver un ensemble de parts dont la valeur totale est égale ou supérieure à celle du capital social minimal. Cette dernière doit être au moins égale à 760 000 €. Ce montant est précisé à l’article L214-88 du Code monétaire et financier. Autre point concernant ce capital, il doit être entièrement souscrit à la date de la soumission de l’offre de participation au public.

Les informations de l’offre de prêt

Les offres de prêt sont différentes d’un établissement à l’autre. Il est préférable de recourir à un courtier pour trouver l’offre la plus adaptée à votre situation. L’offre de prêt va vous présenter plusieurs informations, notamment, la durée du remboursement, le montant du prêt ainsi que le prêt du crédit immobilier. Généralement, le remboursement est étalé entre 20 ans et 35 ans. Le montant est fixé en fonction de vos rémunérations et de vos charges fixes. Quant au taux, il est soit fixe, soit variable.

Décision et délai de réflexion

La banque ou l’établissement de crédit n’a pas le droit de modifier les conditions présentées dans l’offre qu’elle vous a remise. Si elle souhaite y apporter des révisions, elle devra attendre au moins 30 jours calendaires à compter de la date de réception par vous de son offre de prêt. Ces 30 jours ne correspondent pas au délai minimal de réflexion que la loi vous accorde. Pour être plus exacte, la période de réflexion est étalée sur au moins 10 jours. Le décompte commence le lendemain de la date à laquelle la banque vous remet l’offre. Si au bout de cette dizaine de jours vous ne vous êtes pas décidé, ce n’est pas grave : le délai légal va de 10 à 30 jours. Ce délai légal signifie, par ailleurs, que si vous comptez accepter l’offre, vous ne pouvez en notifier la banque qu’une fois les 10 jours écoulés. Dans tous les cas, vous vous devez de donner votre décision dans la période de 30 jours. Au-delà, la banque est autorisée à revoir son offre. Sachez que vous faites part de votre décision toujours par courrier postal en datant et en signant ledit courrier. Ce dernier, toutefois, n’entraîne pas le déblocage des fonds. Les modalités du décaissement sont concrétisées une fois seulement que l’acte de vente est signé.

Pour une résiliation sans motif apparent

Depuis le 01er Janiver 2015, l’application de la loi de Hamon stipule que la résiliation d’un contrat d’assurance habitation peut se faire à tout moment, mais après la première année d’engagement. La résiliation prendra effet un mois après la demande. Si vous envisagez de faire la résiliation pile-poil à la date de l’échéance, vous devez rédiger votre demande au moins 2 mois avant la première année. Ainsi, si le contrat prend fin le 31 décembre, vous devez envoyer votre lettre de demande à la limite le 31 octobre, le cachet de la poste y faisant foi.

Si la résiliation vient de l’assureur

La résiliation du contrat d’assurance peut aussi venir de l’assureur. Ce cas-ci ne se présente que si l’assuré fait de fausses déclarations, qu’il n’est pas bon payeur au niveau de la cotisation ou que l’immobilier a subit des sinistres avec aggravation. Là aussi, le délai de préavis est de 2 mois avant la date d’anniversaire du contrat souscrit.

Pour une résiliation avec motif

La résiliation d’une assurance multirisque habitat avec motif est un peu différente. Ce motif est en général un changement de statut, comme la situation matrimoniale, un déménagement, ou encore la vente de l’habitat en question. Pour ce faire, vous devez envoyer une lettre de résiliation en vous assurant de l’ accusée de réception dans les 3 mois après le changement ou l’événement. La résiliation se fera un mois après la réception de votre demande et l’assureur devra vous rembourser au prorata en ce qui concerne votre cotisation déjà payée. Pour un changement de statut, il est aussi possible de ne faire qu’une modification au niveau du contrat d’assurance, mais en fonction du changement survenu.

Le bois : un matériau résistant

Le bois admet une grande résistance que ce soit au temps qu’aux épreuves. En effet, ses cellules sont orientées dans le sens longitudinal formant ainsi un tout soudé entre eux. C’est pour cette raison que les maisons à ossature bois bénéficient d’une grande longévité à condition bien sûr de bien traiter le bois avant de l’utiliser dans la construction.

Le bois : un matériau renouvelable

C’est le premier matériau renouvelable utilisé dans le domaine de la construction. Quand les arbres sont coupés, d’autres les remplacent. Actuellement, les entreprises spécialisées dans l’exploitation du bois doivent reboiser. À défaut, c’est l’écosystème qui va en pâtir. Certes, le cycle de croissance du bois est long, mais le reboisement évite le manque de bois dans les siècles à venir.

Le bois : un matériau dépollueur

Le bois est apprécié pour son processus de photosynthèse. Il absorbe le CO2 et rejette l’oxygène. En utilisant le bois dans les constructions, les professionnels choisissent un environnement sain puisque le bois séquestre le carbone. Par ailleurs, ce matériau participe aussi à la régulation de régime hydrique.

Le bois : un parfait isolant acoustique

Une bonne isolation est indispensable dans une maison. Cela permet d’éviter les désagréments des nuisances sonores venant de l’extérieur. Le bois a une propriété à absorber les sons. C’est pour cela qu’il est souvent utilisé comme isolant dans les bâtiments modernes. Cela est dû à sa structure alvéolaire ainsi qu’à sa faible densité. Cependant, il est important de noter que cette performance varie d’une espèce à une autre.

Les documents incontournables

Pour que la vente soit officielle, les parties doivent constituer un dossier de vente d’un bien immobilier. Le vendeur doit fournir le titre de propriété, les documents relatifs à la taxe foncière comme le dernier avis d’imposition, – pour la vente de maison – les documents sur les travaux à l’exemple du permis de construire et des autorisations de travaux et d’un document signé attestant une promesse de vente. On ajoute à ces documents le dossier de diagnostic technique comme le constat de risque d’exposition au plomb ou l’état des risques naturels et technologiques.

Les pièces à fournir par l’acquéreur

Celui qui achète un bien immobilier doit aussi fournir quelques documents. Il en est ainsi des justificatifs d’identité ainsi que des justificatifs sur sa situation familiale. Il doit également donner les informations relatives à son mode de financement. Le plus souvent, l’acquisition d’un bien immobilier est financée par un prêt ou par une épargne. Dans le cas d’un prêt, il lui sera demandé de fournir l’adresse de la banque ainsi que le montant et le taux du prêt. L’acquéreur doit aussi préciser la finalité de son projet.

Les documents à fournir en cas d’une vente en copropriété

Il arrive parfois que le bien à vendre soit un lot en copropriété. Ce cas de figure est régi par la loi Alur du 27 mars 2014. Mis à part le document précisant la superficie du lot, un autre attestant l’organisation de l’immeuble sera aussi demandé. On y trouvera le carnet d’entretien de l’immeuble et un état descriptif de division. D’autres documents relatifs à la situation financière de la copropriété comme le montant des charges courantes du budget prévisionnel doivent également être fournis.