Laisser ses clés sous le paillasson

Même si vous ne laissez pas forcément vos clés sous le paillasson, ici, l’important est d’éviter de mettre vos clés en évidence.
Mais même si vous placez vos clés dans une cachette qu’il n’est pas évident de trouver, il y a toujours un risque. En effet, il se peut que quelqu’un trouve cette cachette après avoir vous avoir espionné.
Pour éviter tout risque, le mieux est donc de ne jamais laisser ses clés à la maison et de toujours les avoir sur soi.

Exposer ses richesses

Si vous souhaitez attirer les cambrioleurs, il n’y a pas mieux que d’exposer vos richesses au grand jour, dans le jardin et visible depuis la devanture de votre maison.
Peu importe qu’il s’agisse de votre tondeuse, de vêtements de marque qui sèchent au soleil ou de décorations de Noël… rentrez vos affaires le soir ou lorsque vous quittez la maison.

Laisser trainer des outils

Vos pinces, votre marteau et tout ce qui vous sert à bricoler, pour un cambrioleur, peuvent servir d’outils pour entrer pénétrer plus facilement chez vous.
Les bandits peuvent même s’en servir pour vous agresser. Pour éviter cela, veillez à ne jamais laisser trainer vos outils.

Passer le mot que la maison est sans surveillance

Une photo de vous en vacances ou un commérage suffit à un cambrioleur pour savoir que vous n’êtes pas chez et que votre maison est laissée sans surveillance.
N’informez de votre absence que les personnes auxquelles vous faites confiance !

Le bois : un matériau résistant

Le bois admet une grande résistance que ce soit au temps qu’aux épreuves. En effet, ses cellules sont orientées dans le sens longitudinal formant ainsi un tout soudé entre eux. C’est pour cette raison que les maisons à ossature bois bénéficient d’une grande longévité à condition bien sûr de bien traiter le bois avant de l’utiliser dans la construction.

Le bois : un matériau renouvelable

C’est le premier matériau renouvelable utilisé dans le domaine de la construction. Quand les arbres sont coupés, d’autres les remplacent. Actuellement, les entreprises spécialisées dans l’exploitation du bois doivent reboiser. À défaut, c’est l’écosystème qui va en pâtir. Certes, le cycle de croissance du bois est long, mais le reboisement évite le manque de bois dans les siècles à venir.

Le bois : un matériau dépollueur

Le bois est apprécié pour son processus de photosynthèse. Il absorbe le CO2 et rejette l’oxygène. En utilisant le bois dans les constructions, les professionnels choisissent un environnement sain puisque le bois séquestre le carbone. Par ailleurs, ce matériau participe aussi à la régulation de régime hydrique.

Le bois : un parfait isolant acoustique

Une bonne isolation est indispensable dans une maison. Cela permet d’éviter les désagréments des nuisances sonores venant de l’extérieur. Le bois a une propriété à absorber les sons. C’est pour cela qu’il est souvent utilisé comme isolant dans les bâtiments modernes. Cela est dû à sa structure alvéolaire ainsi qu’à sa faible densité. Cependant, il est important de noter que cette performance varie d’une espèce à une autre.

Le décret a dû être modifié

Au départ, ce décret concerne tous les logements sans exception. Suite aux demandes des associations de défense du patrimoine, la ministre de l’Environnement a dû revoir ses textes. Maintenant, le décret concerne en gros les constructions après la Seconde Guerre mondiale. Les anciens bâtiments, surtout ceux faisant parties des patrimoines préservés, ne sont pas touchés par ce décret. À partir de l’an prochain, l’isolation par l’extérieur en cas de ravalement de façade est imposée aux façades faites de blocs de béton industriels, de briques industrielles, de bardages métalliques et de béton branché.

Quelles sont les constructions non concernées ?

Les sites et les monuments ne sont naturellement pas concernés. À cela s’ajoutent les vieilles maisons françaises et les maisons paysannes de France qui méritent de garder leurs aspects culturels et historiques. En somme, ceci exclut les maisons faites en bâtisses en pierre de taille, les façades à colombage et les immeubles haussmanniens. Ainsi, si les propriétaires de ces maisons ne sont pas obligés de les recouvrir de mur isolant en cas de travaux de ravalement de façade. D’autres exceptions ont été également ajoutées à ce texte. Notons entre autres les constructions non précisées dans le décret comme les façades en bois ou en enduits à la chaux. Il y a également les constructions remarquables récentes qui ne font pas encore parties des monuments historiques, mais en ont le mérite. Ce sont les maisons bénéficiant du label XXème siècle octroyé par le ministère de la Culture.

Le principe du home staging

Le home staging consiste à valoriser un bien, que ce soit un appartement ou une résidence, pour le vendre à meilleur prix, et cela, rapidement. Le home staging a pour principe de changer le style et la décoration d’une maison pour que cela corresponde au mieux aux goûts des potentiels acheteurs et les attire. Le home staging se repose donc sur la mise en valeur de l’espace, des volumes et de la lumière. Pour ce faire, le propriétaire doit dépersonnaliser la décoration de l’habitat pour qu’elle soit neutre, expansive et susceptible de plaire à tout le monde. Le propriétaire doit également harmoniser le style du logement, le nettoyer, réparer les petits dégâts, désencombrer et arranger les pièces. Lorsqu’on fait du home staging, il faut toujours avoir en tête qu’il ne faut pas changer le style de la maison en fonction de son goût, mais en fonction des attentes des éventuels acquéreurs. Cela ne veut pas dire non plus qu’il faut faire une rénovation intégrale du bien immobilier, il suffit de savoir le mettre en valeur.

Qui est-ce que l’on peut contacter pour du home staging

Pour réaliser du home staging et valoriser un bien immobilier, vous pouvez faire appel à un professionnel dans le domaine comme le home stager ou réaliser les travaux de mise en valeur vous-même. En effet, il est tout à fait possible de faire du home staging soi-même. Il suffit de renseigner sur les tendances actuelles dans le domaine de l’immobilier et en matière de décoration. Sinon, vous pouvez tout simplement opter pour des éléments neutres et tendance, que ce soit pour les couleurs, les matières, etc.

Les critères à prendre en compte

Pour éviter toutes formes d’escroquerie, il faut vous informer du tarif proposé par le dépanneur. Ce tarif se doit d’être clair pour éviter tout conflit. Il en est de même pour les frais supplémentaires, ils doivent être communiqués au préalable. Méfiez-vous également des devis trop bas, le plombier pourra vous demander un prix supplémentaire une fois la prestation finie. Pour que le coût de l’intervention ne flambe pas, il est conseillé de choisir un plombier proche de votre domicile. Si vous habitez à Meaux, vous pouvez faire appel au plombier de bs-home, sur lequel nous avons eu de bons retours.

Outre le tarif, choisir un plombier recommandé est l’idéal, car vous saurez déjà au préalable la qualité de son travail. Sinon, choisissez des plombiers qui appartiennent à un réseau agréé, ils sont plus fiables. Enfin, un bon plombier doit avoir tout le matériel nécessaire. Si ce n’est pas le cas, choisissez un autre.

Les types d’intervention effectués par un plombier

A titre d’information, voici une liste complète des dépannages en plomberie effectués par un professionnel expérimenté. Le plombier peut intervenir pour :
• un remplacement de l’installation plomberie
• une réparation de la tuyauterie, du robinet d’arrêt de l’eau
• une recherche de fuites d’eau
• un dégât des eaux
• un détartrage et débouchage de canalisation
• une intervention sur une chaudière, un chauffe-eau électrique ou gaz en panne
• des problèmes liés aux toilettes
• un dégorgement de colonne

Bon à savoir : sachez que le dépannage en plomberie est facturé à 39 € HT en moyenne. Mais ceci peut varier selon la complexité et la nature du dépannage en question. Effectivement, remplacer une installation détériorée est plus compliqué que réparer une fuite.

Carrelage et dallage, les points forts

De nombreuses possibilités s’offrent à nous pour rénover le sol de la cuisine. Le carrelage et le dallage sont les plus prisés. Le carrelage offre de nombreuses variétés aux caractéristiques multiples. On peut citer la pierre naturelle à l’instar du granit et de l’ardoise. Ces derniers sont plébiscités pour leur résistance à l’eau et aux taches. En effet, un dallage en pierre naturelle est facile d’entretien puisqu’il se nettoie juste à l’eau et au savon noir. Il y a aussi le grès cérame, composé de silice et d’argile. Non poreux, ce type de matériau résiste aussi bien à l’eau, aux taches qu’aux chocs. Côté entretien, de l’eau chaude et une serpillière suffisent. La terre cuite n’est pas en reste quant à cette vague de sélection. Composée d’argile naturelle, elle est poreuse et nécessite un traitement hydrofuge. Toutefois, elle est facile à nettoyer et à entretenir une fois protéger par de l’huile-cire ou de la cire.

Revêtements en bois et matériaux synthétiques : d’autres bonnes alternatives

Au-delà du carrelage et du dallage, il est également possible de revêtir sa cuisine avec des matériaux naturels comme le bois. Même si ce dernier est sensible à l’eau, certaines essences résistent parfaitement à l’humidité, notamment les bois exotiques comme le teck. Par ailleurs, les matériaux souples et synthétiques ont aussi la cote dans le revêtement du sol de la cuisine. À la fois décoratifs, ils sont faciles à poser, à nettoyer et sont généralement moins onéreux. Il convient toutefois de bien choisir des matériaux résistants aux usures et aux chocs tels que le lino et le vinyle.

Les travaux concernés

 
 
Comme dit précédemment, le permis de construire se révèle nécessaire lorsque vous décidez d’entreprendre des travaux visant à donner naissance à une nouvelle structure. Parmi ces travaux se trouve notamment la création de piscines de grande taille ou d’abris de jardin. À noter malgré tout que pour les piscines de moins de 10 m² et les abris de jardin dont la surface est inférieure à 5 m², le permis de construire n’est pas obligatoire.
 
 

 
 
Les travaux ajoutant une surface de plancher ou une emprise au sol supérieure à 20 m² nécessitent également l’obtention d’un permis de construire. À noter toutefois que pour les travaux se déroulant en zone urbaine d’une commune couverte par un PLU, des nuances existent concernant la nécessité d’obtenir un permis de construire. Ce dernier est en effet inutile si la surface de plancher ou l’emprise au sol ajoute 20 à 40 m², mais que la densité totale de votre maison reste en-dessous de 170 m². En revanche, pour les travaux ajoutant une surface de plancher ou une emprise au sol supérieure à 40 m², le permis de construire reste toujours obligatoire dans n’importe quel cas.
 
 
 

Les cas exceptionnels

 
 
Enfin, sachez que si vous possédez un château ou un manoir par exemple et que celui-ci est classé en tant que monument historique, vous aurez toujours besoin d’un permis de construire. Si votre résidence se situe dans un secteur protégé, vous devrez également demander un permis de construire chaque fois que vous souhaiterez l’agrandir ou construire une nouvelle structure. Sachez enfin que les travaux ayant pour conséquence de changer le statut d’un local sont aussi régis par le permis de construire. Si vous décidez d’aménager un local d’habitation pour en faire un local commercial par exemple.
 
 

L’Anah et le crédit d’impôt développement durable

Le programme « Habiter mieux » lancé par l’Agence nationale de l’habitat vous permet de profiter d’une subvention pour vos travaux de rénovation sous certaines conditions. Ces derniers doivent en effet avoir un impact significatif sur la consommation d’énergie de votre maison. Si vous remplissez correctement cette condition, vous pourrez profiter d’une subvention de 50 % sur vos travaux. À noter que si le gain énergétique effectif s’élève à 25 % au minimum, l’Anah débloquera une aide complémentaire de 3 000 euros. Sachez également que ces aides de l’Anah concernent aussi les propriétaires bailleurs. Pour ces derniers, la subvention s’élève à 35 % et l’aide supplémentaire commence à 2 000 euros si le gain énergétique est de 35 % au minimum.
 
L’État a également mis en place le crédit d’impôt développement durable pour les particuliers qui possèdent leur résidence principale depuis 2 ans au minimum. Comme son nom l’indique, cette aide permet de déduire une partie des dépenses relatives à vos travaux de rénovation de votre impôt sur le revenu. Attention toutefois, car cette aide ne concerne que les travaux réalisés en bouquet et qui visent à optimiser le potentiel énergétique de votre maison. En fonction du type de bouquet, la réduction peut varier de 15 à 25 % avec un plafond annuel de 10 000 euros.
L’éco-prêt à taux zéro et la prime exceptionnelle de rénovation énergétique
 
 

 
 
Pour financer vos travaux de rénovation, vous pouvez contracter un éco-prêt à taux zéro. Tout comme pour le crédit d’impôt, les travaux concernés doivent être réalisés en bouquet et aboutir à une amélioration de la performance énergétique de votre maison. Le montant maximal du prêt à taux zéro s’élève à 30 000 euros. Enfin, sachez que si vos revenus se situent en-dessous de 35 000 euros par an, vous pouvez profiter de la prime exceptionnelle de rénovation énergétique. Cette dernière s’élève à 1 350 euros.