Choisissez un bon installateur de vérandas : les critères de sélection

Un bon installateur de vérandas vous accompagne de la conception de la véranda à sa pose. Il veille à la conformité technique et esthétique de l’extension. Aussi, pour réaliser des vérandas sur mesure, sélectionnez un artisan sérieux, réputé et expérimenté pour votre projet. Voici comment vous y prendre.

Vérifiez les références et avis clients des professionnels

Avant de signer un devis, prenez le temps d’examiner les précédentes réalisations des installateurs de vérandas sur mesure que vous avez trouvé. Les photos de chantiers achevés, les témoignages clients et les notes reçues en ligne sont fiables pour évaluer leur savoir-faire. Vous pouvez aussi demander à visiter une de leurs réalisations si les installateurs sont proches de chez vous. Cette vérification vous donnera une idée de la qualité des finitions.

Privilégiez les professionnels avec des certifications et assurances

Un installateur de vérandas fiable et compétent devrait disposer d’une garantie décennale. Vérifiez également qu’il possède des labels, dont Qualibat ou RGE. Ces certifications rassurent sur le sérieux de l’entreprise et ouvrent parfois droit à des aides financières, notamment si vous prévoyez des travaux qui vont améliorer la performance énergétique de votre domicile.

Comparez plusieurs devis

Le devis sert à évaluer le rapport qualité-prix. Ne vous fiez pas uniquement au montant global. Demandez à ce que chaque poste soit détaillé : matériaux, main-d’œuvre, options et garanties. Un bon installateur de vérandas doit être capable de vous expliquer son offre et de justifier ses tarifs. Une transparence totale est le signe d’un professionnel digne de confiance.

Préparez votre projet de véranda avec soin : les essentiels à considérer

Avant de contacter un installateur de vérandas, déterminez la faisabilité, le budget et les délais de réalisation de votre projet d’extension. Plus vos besoins sont précis, plus le professionnel pourra vous proposer une solution sur mesure.

Définissez vos besoins

Réfléchissez dès le début à l’usage que vous souhaitez faire de votre véranda : salon lumineux, salle à manger, jardin d’hiver ou espace de travail ? Cette décision aura un effet sur sa surface, le type de vitrage qu’elle contiendra, le chauffage et la ventilation.

Pensez également à l’orientation par rapport au soleil : au nord pour éviter les fortes chaleurs, au sud pour un apport optimal de lumière.

Choisissez les bons matériaux

Le choix des matériaux est déterminant pour la robustesse et le confort de votre véranda. L’aluminium se caractérise par sa légèreté et sa résistance, tandis que le bois possède un charme naturel en plus de permettre une bonne isolation. Le PVC, plus économique, convient aux surfaces modestes. Votre installateur de vérandas vous conseillera sur la meilleure combinaison en se basant sur votre budget et le style de votre maison.

Anticipez les démarches administratives

Avant de commencer les travaux, renseignez-vous sur les autorisations obligatoires. Une simple déclaration de travaux suffit généralement pour une véranda de moins de 20 m². Au-delà, un permis de construire est obligatoire. Certaines communes imposent aussi des contraintes architecturales, notamment en zone classée.

Ne négligez pas le confort et la durabilité

Une véranda doit offrir un confort optimal tout au long de l’année. Votre installateur de vérandas saura vous orienter vers les solutions techniques qui améliorent la solidité de votre structure et qui préservent votre bien-être.

Investissez dans l’isolation thermique et la ventilation

Une véranda mal isolée peut rapidement devenir une pièce inconfortable, trop chaude en été et trop froide en hiver. Privilégiez le double ou triple vitrage, les volets roulants et les stores thermiques pour réguler la température. Une ventilation appropriée évite la condensation et préserve la qualité de l’air. Ces équipements, bien que coûteux, créent un confort permanent et engendrent des économies d’énergie sur le long terme.

Pensez à l’entretien

Le bon état de votre véranda repose sur un entretien régulier. Nettoyez les vitrages avec des produits non abrasifs, contrôlez les joints d’étanchéité et vérifiez la fixation des profilés. Si votre structure comporte du bois, appliquez-lui une lasure ou une peinture protectrice tous les deux ou trois ans. Ces gestes simples prolongent la durée de vie de votre installation en plus de préserver son aspect neuf. Vous l’aurez compris, selon le type de matériau, l’entretien peut nécessiter peu ou plus de temps et d’argent.

N’oubliez pas les finitions

Le choix du sol (carrelage, parquet ou revêtement composite) a un effet sur le confort thermique et l’entretien. L’ajout de rideaux, de stores et d’un éclairage adapté apporte une touche conviviale à la pièce. Avant de valider votre commande, vérifiez avec le fabricant ce qui est inclus dans le prix et ce qui relève des options facultatives. Vous pourrez ainsi savoir le coût réel de votre véranda.

La question de l’épargne

Economiser, en vue de réaliser des projets, grandioses parfois. C’est ainsi que certains ont pu se payer des vacances de rêve, une maison, la voiture qu’ils voulaient absolument etc. Voulez-vous faire de même ? Mais peut-être vous dites-vous que selon le rythme avec lequel vous dépensez votre argent aujourd’hui, cela relève presque de l’impossible. Presque. Et beaucoup peut être fait pour effacer ce « peut-être ». Êtes-vous prêt à changer et à fournir les efforts nécessaires pour y parvenir ? Il existe de nombreux conseils qui vous aideront à épargner, petit à petit probablement au début, mais qui au final, vous donnera ample satisfaction.

Pensez à votre réussite

Lorsque vous prenez la ferme résolution de changer votre façon de dépenser votre argent, voyez loin. Pensez à votre réussite et répétez-vous comme un mantra que vous ne pouvez échouer. Armez-vous d’une volonté de fer et pour vous encourager, parlez de votre détermination à vos amis proches et aux membres de votre famille. Demandez-leur de vous soutenir dans votre décision et de ne pas vous inciter à des dépenses inutiles. Dites-leur clairement qu’il ne faut plus vous demander d’aller au restaurant avec eux ou de faire de la lèche-vitrine, ce qui peut réveiller le démon dépensier que vous essayez de chasser. Rassurez-les que vous reprendrez certaines habitudes au bout de quelques mois, mais qu’il faut, pour l’heure, que vous atteigniez vos objectifs d’épargne.

Une bonne préparation mentale est indispensable

Changer n’est jamais facile, reconnaître qu’on a commis des erreurs dans la manière de gérer son argent. Peut-être vous arrivera-t-il de craquer, c’est normal, c’est humain. Relevez-vous, recommencez encore et encore, mais surtout, n’abandonnez pas votre objectif. Comment faire ? Blindez votre psychologie et toutes les fois où vous ne craquez pas, offrez-vous une récompense. Un bon bain chaud, le film que vous n’aviez jamais eu le temps de visionner, bref, félicitez-vous. Il n’y a rien de plus gratifiant que de se congratuler soi-même. C’est certainement le meilleur moyen de vous encourager à continuer vos efforts.

Ne vous mettez pas dans des situations complexes

Vous voulez épargner ? Alors, interdiction de sortir avec un portefeuille bien garni. Limitez au minimum le liquide que vous emportez sur vous. Ne prenez que ce qui vous est nécessaire pour les courses ou les factures que vous devez payer. Ou bien, ne prenez que la carte bancaire où il y a peu d’argent. Ne mettez pas devant vous de quoi vous tenter. Il y a des solutions encore plus drastiques pour faire des économies : ne passez pas devant les lieux de « tentations » : restaurant, magasins etc.

Privilégiez un couvreur déclaré et assuré

C’est essentiel pour obtenir des travaux de qualité et pour garantir votre sécurité. Aussi, votre artisan doit :

• Disposer d’un numéro SIRET et être inscrit à la Chambre des métiers. Cela prouve son existence légale et son sérieux.
• Détenir une attestation d’assurance décennale. C’est le cas de l’expert que vous pouvez contacter sur ce site. Grâce à cette garantie, les dommages compromettant la solidité de votre toit seront ainsi couverts pendant 10 ans.
• Fournir une copie de sa souscription à une assurance responsabilité civile professionnelle : elle prend en charge les infiltrations, les chutes de tuiles et les éventuels dégâts pouvant avoir lieu durant le chantier.

Choisissez un couvreur local et de bonne réputation

Parmi les artisans en France, centrez votre recherche sur les couvreurs locaux. Pourquoi ? Parce qu’un artisan local connaît les spécificités climatiques, les types de toitures locales (tuiles, ardoises, zinc, etc.) et les règles d’urbanisme de votre région. Plus important, il est plus facile à joindre et peut intervenir chez vous rapidement.

Par ailleurs, il est plus facile d’évaluer la réputation d’un artisan local. Vous pouvez vérifier ses avis clients en ligne, sur son site web, les réseaux sociaux et les forums. Vous pouvez également demander auprès de vous, à votre entourage, vos collègues, etc. s’ils ont déjà eu affaire avec cet artisan. Le bouche-à-oreille est souvent un bon moyen d’évaluer le sérieux et la fiabilité d’un spécialiste.

Vérifiez les qualifications du couvreur

Lorsque vous consultez le site du couvreur, prenez le temps de vérifier ses qualifications ou certifications. En tous les cas, optez pour un artisan disposant de :

• La qualification Qualibat : elle prouve la capacité technique de l’entreprise à effectuer différents travaux, tels que l’isolation, la zinguerie, etc.
• La mention RGE (Reconnu Garant de l’Environnement) : ce label RGE permet de déterminer si le professionnel est compétent pour des travaux de rénovation énergétique.
• La certification NF DTU : elle assure que l’artisan peut exécuter dans les normes et selon des conditions techniques les travaux de réfection de toiture.

Vous pouvez également demander les références clients de l’artisan. Appelez-en quelques-uns pour avoir leur retour d’expérience sur la qualité d’intervention du professionnel. Si l’un d’eux n’est pas trop loin de chez vous, pensez à le visiter pour voir de visu la qualité de travail de l’artisan.

Rencontrez le couvreur zingueur pour vous faire une idée de la personne

N’engagez jamais quelqu’un sans avoir pris le temps de le rencontrer. Le premier contact avec l’artisan est important. Il vous permet de voir s’il a un bon contact humain et s’il vous inspire confiance. Au cours de l’entretien, posez-lui les questions importantes pour la réussite de projet de réfection de toiture telles que :

• La durée des travaux : vous pouvez vérifier s’il n’est pas engagé sur plusieurs chantiers et s’il est disponible durant la période qui vous intéresse.
• Les matériaux qu’il utilise : profitez du rendez-vous avec l’artisan pour vérifier les types de matériaux (tuiles, zinc, etc.) qu’il maitrise et leur qualité.
• Son organisation : travaille-t-il avec une équipe ou en sous-traitance ?
• Le coût de la prestation : pour que vous puissiez préparer le budget à y allouer.
• Etc.

Durant votre échange, voyez s’il a une communication fluide, s’il explique le processus de travaux sans user de jargon technique. Un bon couvreur prend effet le temps de vous expliquer les étapes de la réfection :

• L’installation de l’échafaudage,
• La mise en place de la charpente,
• Les travaux d’isolation et d’étanchéité,
• La pose du revêtement de toit,
• Les aménagements divers (fenêtre de toiture, évacuation d’eau de pluie, etc.).
• La fin du chantier.

Préférez un artisan proposant un devis détaillé pour la réfection de votre toiture

Vous le savez sûrement, le prix de réfection de toiture dépend de la complexité et de la taille du projet. Pour anticiper vos dépenses, demandez un devis auprès de quelques couvreurs locaux répondant aux critères cités auparavant (bonne réputation, qualifications, etc.).

Le devis doit comprendre le délai du chantier, les tarifs de l’enlèvement de l’ancienne toiture, des fournitures, des matériaux, de la pose du nouveau toit et des différents travaux (tels que l’étanchéité, l’isolation, la zinguerie, etc.). Les frais annexes qui concernent la gestion des déchets ou le nettoyage du chantier, les frais de déplacement de l’artisan et de son équipe, les frais de livraison du matériel nécessaire, etc. doivent aussi y figurer. Alors, si le devis d’un artisan n’est pas détaillé, oubliez-le.

Le marbre est un matériau de choix pour les cuisines modernes et élégantes. Un plan de travail en marbre apporte un style sophistiqué et intemporel à n’importe quelle cuisine. Mais comment l’intégrer de manière harmonieuse à votre espace ? Dans ce guide, nous explorerons plusieurs idées de design pour optimiser l’utilisation du marbre dans votre cuisine.  

1. Marbre blanc pour un look classique et épuré

Le marbre blanc est un choix classique pour les cuisines. Il crée une ambiance lumineuse et aérée, idéale pour les espaces réduits. Associez-le à des armoires en bois clair ou en blanc pour un effet ton sur ton. Les veines naturelles du marbre ajoutent une touche d’élégance sans surcharger le décor.

Pour maximiser l’effet de lumière, optez pour un éclairage sous les armoires. Cela mettra en valeur les motifs subtils du marbre et donnera à votre cuisine une allure raffinée. Cliquez ici pour trouver le meilleur plan de travail en marbre blanc qui correspondra à cette esthétique.

2. Marbre foncé pour un design moderne

Si vous préférez un look plus audacieux, le marbre noir ou gris foncé est un excellent choix. Il crée un contraste saisissant lorsqu’il est associé à des armoires blanches ou de couleur claire. Un plan de travail en marbre foncé peut également s’intégrer parfaitement dans une cuisine avec des éléments métalliques, comme des poignées en acier inoxydable ou des appareils électroménagers en argent.

Le marbre foncé est également très efficace pour masquer les taches et les éclaboussures, ce qui le rend pratique pour une utilisation quotidienne. Pour un design cohérent, choisissez des accessoires en métal noir ou en cuivre pour compléter l’ensemble.

3. Plan de travail en marbre avec îlot central

L’intégration d’un plan de travail en marbre sur un îlot central peut transformer votre cuisine en un véritable espace de vie. L’îlot devient ainsi le point focal de la pièce, idéal pour cuisiner, manger ou recevoir. Assurez-vous que l’îlot soit suffisamment large pour permettre un espace de travail confortable tout en offrant des zones pour les repas ou les réunions.

Pour un effet visuel spectaculaire, choisissez un marbre avec des veines prononcées qui attireront l’attention. Vous pouvez également jouer avec les matériaux en combinant le marbre avec du bois ou du métal pour un effet texturé et moderne.

4. Combinaison de marbre et de bois

Associer un plan de travail en marbre à des éléments en bois est une excellente manière d’équilibrer le design de votre cuisine. Le bois ajoute de la chaleur et du caractère à l’aspect froid du marbre. Cette combinaison fonctionne particulièrement bien dans les cuisines de style scandinave ou rustique.

Vous pouvez par exemple opter pour des étagères ouvertes en bois au-dessus d’un plan de travail en marbre. Cela créera un contraste intéressant tout en ajoutant du rangement pratique. Pensez également à choisir des tabourets ou des chaises en bois pour harmoniser l’ensemble.

5. Marbre multicolore pour un effet artistique

Si vous aimez les designs originaux et audacieux, un plan de travail en marbre multicolore peut être l’option idéale. Le marbre avec des veines colorées, comme le marbre vert ou rouge, crée un effet visuel unique. Ce type de marbre est parfait pour ajouter une touche d’art à votre cuisine tout en restant fonctionnel.

Associez ce marbre à des éléments neutres pour éviter de surcharger l’espace. Des armoires blanches ou grises permettront au plan de travail en marbre de rester la star de la pièce. Vous pouvez également ajouter des accessoires de couleur similaire pour renforcer le thème de la décoration.

6. Marbre avec dosseret coordonné

Pour un look cohérent et harmonieux, vous pouvez prolonger votre plan de travail en marbre sur le dosseret de votre cuisine. Cette continuité crée une sensation d’espace et donne à votre cuisine un aspect haut de gamme. Le dosseret en marbre est également très pratique car il est facile à nettoyer et résistant à la chaleur.

Pour renforcer cet effet, choisissez un marbre avec des veines continues qui se prolongent du plan de travail au dosseret. Cela ajoutera de la profondeur et du mouvement à votre design, créant un effet visuel spectaculaire.

7. Intégration de l’évier dans le plan de travail en marbre

Une autre idée de design est d’intégrer l’évier directement dans le plan de travail en marbre. Cela crée une transition fluide et donne à votre cuisine une apparence nette et sans couture. Un évier intégré est non seulement esthétique mais aussi très pratique, car il facilite le nettoyage.

Assurez-vous de choisir un évier en matériau compatible avec le marbre, comme l’acier inoxydable ou le quartz, pour assurer la durabilité de votre installation.  

8. Marbre poli vs. marbre mat

Le choix entre un marbre poli ou mat dépend de l’effet que vous souhaitez obtenir. Un marbre poli réfléchit la lumière et donne un aspect brillant et luxueux à votre cuisine. En revanche, un marbre mat offre un fini plus subtil et doux, parfait pour une ambiance plus discrète et chaleureuse.

Le marbre poli est idéal pour les cuisines modernes et contemporaines, tandis que le marbre mat s’intègre mieux dans les cuisines traditionnelles ou rustiques. Quel que soit votre choix, assurez-vous que le marbre est bien scellé pour éviter les taches et les dommages.

9. Jouer avec les épaisseurs

L’épaisseur du plan de travail en marbre peut aussi influencer le design global de votre cuisine. Un marbre épais, par exemple de 5 cm, donne un aspect robuste et imposant, parfait pour une grande cuisine. En revanche, un marbre plus fin, d’environ 2 cm, est plus léger visuellement et convient mieux aux cuisines plus petites ou minimalistes.

Vous pouvez également jouer avec les hauteurs en combinant des plans de travail de différentes épaisseurs pour créer un effet de niveau. Cela ajoute de l’intérêt visuel et permet de délimiter différentes zones fonctionnelles dans la cuisine.

10. Choisir les bons accessoires

Enfin, le choix des accessoires est important pour compléter le design de votre plan de travail en marbre. Optez pour des éléments qui mettent en valeur la beauté naturelle du marbre, comme des planches à découper en bois, des ustensiles en acier inoxydable ou des vases en céramique.

Pensez aussi à intégrer des éléments décoratifs qui rappellent la couleur ou les motifs du marbre, comme des coussins, des rideaux ou des tapis. Cela créera une harmonie dans l’ensemble de la pièce.

Un plan de travail en marbre est un choix élégant et durable pour toute cuisine. En suivant ces idées de design, vous pouvez intégrer le marbre de manière harmonieuse et fonctionnelle dans votre espace. Que vous préfériez un look classique, moderne ou audacieux, il existe un style de marbre qui correspondra à vos goûts.

Utilisation d’un prêt renouvelable

Il existe deux façons pour utiliser efficacement votre crédit renouvelable. En effet, ce prêt peut être actionné quand votre compte est à découvert. Dans ce cas, vous pouvez le demander afin de créditer directement votre compte principal, auquel, le prêt est lié. La seconde utilisation du crédit se fait sous forme de carte. Il s’agira ici, de la fameuse carte de crédit. Cependant, avant de pouvoir en jouir, vous devez vous inscrire à ce service. La carte sera alors, pourvue d’un certain montant défini à l’avance dans votre contrat. Ainsi, quand vous l’utiliser, le montant sera débiter du capital mis à votre disposition dans la carte de crédit. Il faut aussi savoir que cette carte ne sera active qu’une fois que vous aurez donné l’aval à votre banque afin qu’il y ait utilisation du compte crédit renouvelable. Mise à part ces deux types d’utilisation, on peut aussi demander à la banque de virer de votre compte de prêt renouvelable, un montant défini, afin de recharger votre compte chèque. La démarche contraire peut aussi être effectuée afin de limiter les encours sur le montant de vos crédits. Cette solution vous permettra également de réduire le montant à rembourser par mois. Concernant la durée de ce type de prêt, généralement, elle est de 12 mois, mais il vous est possible de demander une autre extension de 12 mois. Cependant, cette reconduction est conditionnée. Votre établissement bancaire va tout d’abord, analyser votre situation et l’utilisation du crédit sur le premier contrat de 1 an. Elle constatera dans ce cas, si vous avez fait ou non, des incidents. Pour ce qui est de votre solvabilité, la banque en fera l’analyse tous les 3 ans.

Comment se fait le remboursement de ce type de prêt ?

Chaque fin du mois, vous aurez droit à un relevé concernant votre crédit renouvelable. Ce relevé fera une estimation de ce que vous aurez à rembourser tous les mois, en prenant compte du capital initial demandé, et octroyé par la banque. Ce montant sera remboursé chaque mois, durant une période de 3 ans maximum, si le capital que vous avez emprunté est de 3 000 euros tout au plus. Si le prêt est supérieur à 3 000 euros, vous aurez 5 ans maximum pour son remboursement. Cependant, vous avez aussi le droit de demander à votre banquier que le capital disponible sur votre compte crédit renouvelable soit diminué. Le montant de votre remboursement sera alors, calculé en fonction. Vous pouvez également, à tout moment, suspendre l’usage du compte ou même de résilier le contrat. Toutefois, dans ces deux derniers cas, la banque vous demandera une indemnisation sur le manque à gagner. Cette indemnisation sera stipulée dans votre contrat de prêt. Et enfin, sachez aussi qu’à la fin de la première année du contrat, vous pouvez demander à ce que le prêt renouvelable soit utilisé comme crédit classique. De ce fait, vous aurez droit à un prêt à la consommation ou un prêt travaux, ou autres, mais avec une mensualité différente, qui sera constante.

Bien définir vos besoins

La première action à faire est de déterminer l’espace disponible pour installer votre transat ou bain-de-soleil. Si vous recherchez un mobilier d’extérieur pour vous relaxer et faire la bronzette, orientez votre choix vers les bains de soleil. S’apparentant à la méridienne, les transats bains de soleil sont souvent dotés d’un dossier relevable et vous permettent de vous allonger pour mieux profiter du soleil. Selon l’espace dont vous disposez, vous pouvez installer un ou plusieurs transats bains de soleil près de votre piscine ou sur votre balcon. Si vous avez moins d’espace, la Chilienne peut être un bon compromis. Pouvant être pliante, elle se caractérise par sa structure en bois ou en métal avec une assise en toile offrant une position demi-allongée.

En plus de la surface disponible, demandez-vous si vous comptez laisser le mobilier en extérieur toute l’année ou seulement une partie de l’année. Dans le deuxième cas, assurez-vous d’avoir un espace pour ranger le mobilier.

Choisir le bain-de-soleil selon vos attentes

Si vous souhaitez ranger vos bains de soleil en hiver, optez pour les transats pliants.
Si vous recherchez un mobilier facile à déplacer, tournez-vous vers les modèles en aluminium ou en pvc et équipés de roues.
Si vous comptez laisser vos bains de soleil dehors toute l’année, optez pour les modèles faits avec des matériaux résistants et traités. Les bains de soleil en bois exotique comme le teck, les modèles en pvc, en résine tressée et en aluminium n’ont pas peur des intempéries. Si vous préférez le métal comme matériau, assurez-vous qu’il est traité anti UV et anticorrosion.
Côté style et design, le transat bain de soleil peut se décliner en divers coloris et fait pour une personne ou deux personnes.

Réunion des associés pour voter la dissolution de la SCI

Plusieurs raisons peuvent vous pousser à passer à la dissolution de votre SCI. Vous, en tant que dirigeant ou simple associé, pouvez réunir les autres associés dans le but de procéder au vote de la décision de dissolution de l’entreprise. Mais quels sont les points que vous devez retenir lors de cette étape ? En fait :

• Il n’est pas nécessaire de convoquer une assemblée générale extraordinaire. Tout dépend des statuts de la SCI.
• La décision doit être prise à l’unanimité.
• Une fois la dissolution votée, le procès-verbal doit être rédigé et signé par le représentant légal de l’entreprise. Ce dernier doit également certifier qu’il est conforme.

Désignation du liquidateur

Après le vote de la décision de dissolution, vous et vos associés devez désigner un liquidateur. C’est lui qui va se charger :
• D’établir les comptes de clôture.
• De partager les actifs entre vous.
• Du traitement fiscal de votre société.

Ce responsable peut être :
• Le gérant de votre structure.
• L’un des tiers de l’établissement.
• L’un des associés.

Si vous n’êtes pas d’accord sur la personne qui va exercer les missions citées ci-dessus, le tribunal compétent peut la nommer.

Publication d’une annonce légale de dissolution

La dissolution de votre entreprise est la première partie de la cessation de ses activités. Vous avez l’obligation d’en informer les tiers pour pouvoir entamer la liquidation de votre structure. Pour ce faire, vous devez publier une annonce légale de dissolution de votre société dans un JAL du département de votre siège social. Cet avis doit comporter :

• La dénomination sociale de votre établissement.
• Sa forme juridique, qui est ici la SCI.
• L’adresse de votre siège social.
• Le montant de votre capital social.
• Votre objet social.
• Votre numéro d’immatriculation au RCS.
• L’organe décisionnaire, dont vos associés.
• La date de la décision de dissolution.
• La date de prise d’effet de cette décision.
• L’adresse du siège de liquidation.
• Les informations sur le liquidateur, dont son nom et son adresse.
• Le greffe d’immatriculation.

La constitution du dossier de dissolution

Grâce aux étapes ci-dessus, vous allez avoir certains documents, dont les exemplaires vont vous être utiles pour constituer le dossier de dissolution :
• Le procès-verbal de dissolution.
• L’attestation de parution dans un JAL de l’avis de dissolution.

Vous devez les compléter avec :
• Deux copies du formulaire M2 de déclaration de modification de personne morale.
• Un extrait Kbis original qui doit être daté de moins de 3 mois si le liquidateur est une personne morale.
• Une déclaration de non-condamnation et de filiation du liquidateur si c’est une personne physique.
• Une copie de la pièce d’identité de ce dernier.

Vous pouvez déposer le tout auprès du site du guichet unique du greffe du tribunal de commerce.

Publication de l’avis de liquidation de la SCI

Une fois la dissolution signalée au greffe du tribunal et validée par celui-ci, le liquidateur que vous avez désigné doit procéder à la liquidation des biens de la SCI et à la clôture des comptes. Puis, il doit publier l’avis de liquidation dans un support d’annonces légales. Il peut trouver le formulaire convenable sur sci.business. Les informations sur cette annonce sont presque similaires à celles se trouvant sur l’annonce légale de dissolution. Il n’aura aucun mal à le remplir.

Radiation de la SCI

Après la publication de l’avis, le liquidateur va obtenir une attestation de parution. Il doit en faire un exemplaire pour compléter le dossier de radiation de votre structure qui est composé de :

• Deux copies dûment remplies du formulaire M4.
• Une copie du procès-verbal de la décision des associés qui fait état de la clôture des opérations de liquidation.
• Une copie des comptes définitifs de liquidation.

C’est le greffe du tribunal qui valide ce dossier et qui envoie ensuite un extrait Kbis de radiation à votre SCI. Ça y est, la procédure de radiation de votre établissement est réalisée. Votre société n’existe donc plus.

Travaillez les détails

Souvent, il ne faut pas grand-chose pour apporter une touche de neuf chez vous. Ne dit-on pas que ce sont les détails qui font toute la différence ? Pensez à mettre quelques coussins supplémentaires ici et là, posez plus de bougies sur ce meuble et vous verrez que ça change déjà l’ambiance de votre intérieur. Réunissez les vases que vous trouvez chez vous et posez-les à même le sol. Si vous n’avez pas de vases, de belles bouteilles bien nettoyées feront très bien l’affaire. L’effet d’accumulation donnera vie à un meuble ou à un coin de votre maison. Faites de même avec des boîtes de différentes tailles, elles ajouteront à la beauté de votre chez-soi.

Réveillez votre intérieur

Comment réveiller votre intérieur avec trois fois rien ? Avez-vous des cadres, des tableaux, des toiles ? Dénichez tous ceux qui prennent la poussière dans la cave ou dans les combles et posez-les au sol en les superposant. Cet aspect négligé, mais soigné finira d’embellir autrement votre intérieur. Si vous n’avez mis de tapis qu’au salon jusqu’ici, déplacez ce tapis et destinez-le à présent à la salle à manger. Vous serez bluffé par l’effet de ce simple transfert. Pour votre table basse, si vous ne pouvez pas vous en offrir une nouvelle, l’astuce, c’est de la couvrir de livres et de magazines. Posez-les de façon symétrique, l’ambiance y sera métamorphosée sans dépenser un sou !

Réunissez les associés

La création de SCI nécessite un nombre minimum d’associés (deux personnes au moins). Le maximum n’est aucunement précisé. C’est la raison pour laquelle, certaines SCI peuvent concurrencer les groupes acteurs de l’immobilier.

L’âge légal pour faire partie de cette société est de 18 ans. Néanmoins, les mineurs peuvent y prendre part, du moment qu’ils obtiennent un accord parental.

Sélectionnez le type de SCI

Les associés réunis, il est temps de choisir entre les 3 formes de SCI envisageables dans le domaine immobilier :

– SCI construction vente : convient aux groupes de personnes souhaitant construire un bien commun et le revendre par la suite pour avoir des bénéfices sur la somme investie ;

– SCI professionnelle : s’adresse aux associés qui souhaitent acquérir des bureaux destinés à accueillir des sièges de sociétés ;

– SCI familiale : c’est la plus courante. Cette forme de société civile immobilière permet aux membres d’une même famille de gérer efficacement des biens immobiliers communs.

Lancez les démarches administratives

Le respect de ces démarches est un signe que vous êtes un bon gérant. Les démarches administratives pour la création d’une société civile immobilière ne diffèrent pas totalement de celles appliquées aux autres formes d’entreprises :

Rédigez le statut de la SCI

Celui-ci doit contenir les informations suivantes :

– La forme de la société ainsi que le nombre d’associés ;
– L’identité de ces derniers et l’objet social choisi ;
– Le siège social de la société civile immobilière.

Déposez le capital social

– Ouvrez un compte bancaire commun ;
– Déposez-y le montant du capital social.

Il sert à payer des dettes dans le futur en cas de coup dur.

Publiez l’annonce de création de la SCI

Faites la publication sur un journal spécialisé.

La rédaction des statuts de la SCI

Pour tous les types de SCI, la loi impose la rédaction des statuts. Ces derniers doivent mentionner le nom de la société, le siège social, le capital, la durée de vie et de son fonctionnement. En cas de changement, vous pouvez procéder à une modification. Pour leur validation, les statuts doivent être paraphés par chacun des associés et enregistrés au service des impôts des entreprises.

Vous pouvez vous rendre sur le site de sci.business pour obtenir plus de précisions sur les formalités à suivre. Vous pouvez poursuivre la lecture pour connaître les autres étapes.

La constitution d’un capital social

Le capital social d’une SCI n’est pas défini au préalable. Les associés peuvent le déterminer et ils recevront des parts proportionnelles à leur apport. Pour ce dernier, ils ont le choix entre l’apport en numéraire ou en nature. Mais la SCI peut être soumise à un régime de capital variable. Cela veut dire que le capital peut changer entre un montant plancher et un montant plafonné. Dans ce cas précis, il faudra le mentionner dans le statut.

La publication d’un avis de création dans un JAL

Par la suite, votre SCI doit être publiée dans un journal d’annonces légales. Pour ce type de publication, il y a un format à respecter et les mentions suivantes doivent y figurer : la nature des statuts, le nom de la société, la forme et l’adresse du siège social, le capital social, l’identité RCS, etc.

La constitution et le dépôt d’un dossier au greffe du Tribunal de commerce

Cette dernière étape est la finalisation du dossier auprès du greffe du Tribunal de commerce. Le dossier doit comprendre un formulaire MO, un exemplaire original des statuts, une déclaration des bénéficiaires et une attestation de publication.